Ses livres

Anne Lauwaert raconte :

Claudio ne s’intéressait pas vraiment à la politique, et dans sa bibliothèque il n’y avait ni Marx, ni Lénine, ni Mao. Pas non plus de Bible. Par contre, outre à la littérature alpine, il possédait les grands écrivains et parmi eux Blaise Cendrars, Henri Michaux, Michel Leiris, Boris Vian, Kafka, Queneau, Valéry, Aragon, Char, Desnos, Norge…

Boris Vian : Et on tuera tous les affreux

Et aussi des classiques : Victor Hugo, Chateaubriand, Lamartine, Baudelaire, Verlaine, Rimbaud… sans compter les Melville, Hemingway, Edgar Poe, Jack London…

Il possédait également des œuvres rares à l’époque, comme les « Rubaiyat » d’Omar Khayyam ou le Livre Tibétain des Morts.

Freddy Depadt ajoute :

Claudio possédait également, parmi ses trésors, une série d’éditions originales d’auteurs surréalistes. De quoi rendre jaloux plus d’un bibliophile.

Tita Piaz, Le diable des Dolomites (Ed. Arthaud)